au vendredi 30 octobre
Toute la journée
Personne habile à découvrir les sources cachées, l’eau souterraine, les minerais ainsi que les trésors enfouis. La sourcière maîtrise l’art de dessiner l’abstraction derrière le paysage familier, de mettre à jour les canaux qui irriguent l’épiderme du vivant.
Elle se reconnecte à la terre fertile, celle qui donne la vie mais celle qui peut aussi la reprendre, l’avaler pour mieux la digérer.
La sourcière est une intermédiaire entre ce qui est, vivant et mouvant, et ce qui a été, enfouie et en dormance. Elle souligne par petites touches les histoires reliant le présent solaire à la mythologie chthonienne.
Entre traits et matière, un voyage sensoriel. Le point comme un atome, le corps de l’œuvre en gestation, fruit d’une lenteur nécessaire…
Vernissage le 11 septembre à 18h30.